Départ arraché.
Le déni explose dans le cri réacteur :
Je voulais rester, je suis parti.
Ancre ensouillée, l’esprit appesanti d’une sourde torpeur
Je rêvais ici, me voici ailleurs
Facile oisiveté.
Curiosité enfouie, oubliée du dormeur.
Le désir reprend vie, m’agite le cœur.
Départ retrouvé.
Souvenir resurgi de l’esprit voyageur.
Je m’envole et m’enfuis, ton visage demeure.
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