Depuis l’obscure noirceur à la pénombre claire,
Je veille les nuits sans espoir de lumières autres que celles des villes que l’on frôle.
Auréoles dispersées dans le ciel du pôle.
Et du soir au matin, et du matin au soir.
Poèmes du Froid – Nuit Polaire III

Depuis l’obscure noirceur à la pénombre claire,
Je veille les nuits sans espoir de lumières autres que celles des villes que l’on frôle.
Auréoles dispersées dans le ciel du pôle.
Et du soir au matin, et du matin au soir.